« Sous les fables de fin du monde se trouve le soupçon que l’espèce humaine travaille à sa perte »

Le contexte de l’article: Coronavirus – COVID-19 – Le Monde
« Sous les fables de fin du monde se trouve le soupçon que l’espèce humaine travaille à sa perte »
La multiplication des histoires de désastres est contemporaine de l’accroissement de la puissance des hommes, explique, dans sa chronique, Phillippe Dagen, journaliste au « Monde ».
Philippe Dagen
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